Souvent comparée à un 'court-circuit du cerveau', la sidération touche particulièrement les victimes de violences sexuelles. En les paralysant, elle les empêche de se défendre ou de fuir leur agresseur.
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La vidéo décrit une agression subie par la narratrice dans une rue déserte. Elle explique comment, au début, elle ne réalisait pas ce qui se passait, se sentant déconnectée de son corps, comme si elle voyait la scène d'en haut. Son agresseur a glissé sa main dans son manteau et a commencé à la toucher de manière inappropriée. Malgré la confusion et la peur, elle a tenté de réagir en élaborant une stratégie pour se défendre, bien que ses efforts aient semblé naïfs. À un moment critique, des voisins ont entendu le bruit, ont ouvert leurs fenêtres, et ont crié sur l'agresseur, ce qui l'a mis en fuite. Ces voisins ont non seulement appelé la police, mais sont également sortis pour poursuivre l'agresseur et aider la victime. La narratrice exprime sa gratitude envers ces personnes courageuses qui sont intervenues, soulignant que ce type de réaction est rare dans les cas d'agression publique. Elle mentionne également la culpabilité qu'elle a ressentie pour ne pas avoir réagi plus tôt ou de manière plus efficace, un sentiment courant chez les victimes d'agression. La conclusion met en lumière l'importance de la solidarité et de l'intervention des té...