La quasi-totalité de l’activité économique au tiers-monde est informelle. Elle n’est pas enregistrée. Beaucoup d’économies planifiées du Tiers monde ne parviennent pas à taxer le fruit du travail...
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La vidéo aborde l'économie informelle dans le tiers-monde, soulignant que la majorité des activités économiques ne sont pas enregistrées, rendant difficile la taxation par les gouvernements. Hernando de Soto et son équipe ont observé que, dans de nombreux pays, il est aussi difficile de rester dans la légalité que d'y entrer. Ainsi, beaucoup préfèrent opérer en dehors du système officiel. Au Brésil, par exemple, une grande partie des nouvelles constructions ne sont pas enregistrées formellement, ce qui les place en dehors de l'économie régulée. Ce phénomène est attribué à plusieurs facteurs, dont une réglementation excessive, une bureaucratie inefficace et l'absence d'un régime juridique unifié. Contrairement à certaines idées reçues, les populations du tiers-monde ne manquent pas d'esprit d'entreprise, comme le démontre leur activité commerciale dynamique. Le problème majeur réside dans le fait que les richesses existantes ne sont pas authentifiées, les empêchant de générer davantage de valeur économique. Hernando de Soto a calculé que la valeur totale de l'immobilier détenu par les pauvres dans le tiers-monde s'élève à environ 9...